Il se passe plein de choses… et il ne se passe rien. (-57 kg)

Peut-être plus jamais. Oui j´ai des sandales pour faire du vélo et je prends des risques ! Et ? Et ?

Tu va venir me sauver ? Je ne crois pas non.

« T’as une nouvelle boucle d’oreille ? »

Bon la réunion ne s´est pas tout à fait déroulée comme je l´espérai, on était loin...

Du coup je retourne à mon état "arrête d´espérer quoique ce soit".
Et aujourd´hui devant les réfrigérateurs de la cantine on est proche, tout près, on discute, les guides, tout ça... et tu observes mon oreille avec insistance... et : "T'as une nouvelle boucle d'oreille ?".

Je jubile, j'ai envie de te faire un bisou et je réponds pas super.
Mince j'aurai du rebondir mieux que ça, dire que ça annonce la couleur mais discrètement. Ou alors carrément : "Tu aimes ?".

Ça, ça aurait eu de la gueule !

Je t’ai dit que tu étais beau…, enfin « tout beau » 😊 (et -42 kg)

J´ai failli poster plein de fois : lorsque je sais que c´est fichu, lorsque tu me complimentes sur mon nouveau manteau, quand je voudrai te détester, ou t´aimer... .
Aujourd´hui j´ai remarqué ta nouvelle coupe de cheveux, très courte et j´adore ! J´ai encore plus envie de te faire des câlins.

Je suis encore étonné de ce que j´ai osé faire : "Salut, t´es tout beau avec ta nouvelle coupe. J´adore !".
Je n´ai pas tremblé ni bafouillé, j´ai été naturel. Tu as rougi et tu m´as remercié trois fois. Demain on va peut-être passer 2 heures ensemble et même déjeûner ensemble.

J´espère..., j´ai hâte !

« Tout le temps perdu ne se rattrape plus. »

-32 kg / aaaargh -> Hug?

Bon le premier point, on passe, je continue malgré les fêtes, c´est super !
Le second... aaaaaaah... Bien sûr que je ne veux plus penser à toi, bien sûr que je me suis fait à l´idée qu´il n´y avait aucune chance et là..., LÀ !
Grrr dans cette nouvelle cantine on fait la queue ensemble devant le frigo connecté et encore devant les micro-ondes, bien sûr on papote, on se souhaite la bonne année et même si tu as besoin d'aller chez le coiffeur (pourquoi je précise ça ?) j'ai une furieuse envie de te faire la bise et carrément de te faire un câlin, un gros hug devant tout le monde !
Mais bien sûr je n'en fais rien, c'est impossible...

Alors on discute, on se raconte nos vacances, moi à Maubeuge et toi dans le Morvan et j'ai toujours envie du câlin.
Je fais quoi maintenant, hein ?! Allez, bisou ^^.

Départ définitif / -25 kg / Sûrement hétéro

Trois nouvelles totalement décorrélées : une terrible / une excellente / la dernière me gonfle.

C´était malheureusement prévisible / Cool / C´était malheureusement prévisible.
Je vais serrer les poings / Je vais continuer / Je vais m´éloigner (qui sait ?).

Mon amour (😍)

Boxeur grave sexy

Wow wow wow ! C´est l´apothéose aujourd´hui !!! Toi en boxeur dans ce petit ring improvisé, en short et marcel mouillé de sueur (que j'avais envie de te retirer avec la bouche...), les gants aux poings, mon dieu ce que tu étais sexy !

Ce sera mon challenge : la prochaine fois que je te croise je te le dis en face, je vais te faire rougir :p.

Au fait tu es toujours sexy, mais là... .

« T’as une jolie tasse. »

Quelle chouette mardi ! Mais par contre qu´est-ce que je me suis trouvé mauvais...

Mon dieu, depuis le temps que je déambule avec mon mug rainbow en espérant que tu le remarques. Je le récupère dans la machine à café, je me retourne et paf : tu arrives face à moi !
Et c´est la phrase que j´espérais tant : "oh tu as une jolie tasse !".
Comme un idiot, à part un "merci" timide, je change de sujet (assez peu intéressant), je bafouille, bref je rate le coche et je te souhaite une bonne journée bien trop vite.

Désolé, vraiment..., mais merci, vraiment.

PS : je croise les doigts pour un petit like de ta part sur mon post LinkedIn.

Wink

Tu as le plus beau clin d´œil du monde !
J´en ai fait une chanson, bientôt.

La blouse…

Voilà plus d´un mois que je poste à ton sujet. Voilà plus d´un mois qu'il n'y a rien de négatif, juste une accumulation d'évènements que je trouve dingues et qui me font vivre dans l'espoir...

Et ce matin tu passes "par hasard" devant mon bureau, comme d'habitude nos regards se croisent, j'ai le droit à un "maintenant je sais où se trouve ton bureau", tu cherches quelqu'un, je me précipite pour t'aider, je t'accompagne, on papote en déambulant, tu arrives à ton rendez-vous et... il n'y a plus de blouses jetables.

Je regrette de ne pas avoir insisté d'avantage pour te prêter la mienne, tu y aurais laissé ton odeur, ton parfum... je ne l'aurai plus changée.

La semaine commence vraiment bien 🤩

Est-ce vraiment le hasard, le destin ? C´est incroyable ce lundi matin : je te croise complétement par hasard, uniquement parce que je me suis trompé d´étage, du coup on discute, tu me racontes Bruxelles, j´arrive à être naturel, fluide, j´enchaine les questions. Tu es tellement beau.

Je pars recharger ma clé "café", j´en prend un au distributeur, le temps de retourner aux ascenseurs et paf : on se recroise à nouveau.

Je t´accompagne dans les escaliers et j´ose te parler de ma perte de poids. Tu es tellement beau.
Merci et bonne journée !

Plus de deux semaines se sont écoulées depuis le dernier post, déjà. Cette dernière a été éprouvante : je ne t´ai quasiment plus croisé, les rares fois où ce fut le cas je t´ai trouvé moins souriant et mon côté pessimiste me faisait même imaginer que tu m'évitais volontairement.

Et puis aujourd'hui, le seul jour où j'avais mis ma chemise blanche et mon petit pull gris col V, mon mug LGBT à la main, tu passes devant moi alors que je discute avec ta charmante collègue devant la machine à café.
Contre toute attente, je prends mon courage à deux mains, je t'interpelle par ton prénom et j´engage la conversation.

Petit moment magique, on discute 5 minutes (sans doute moins) notamment du massage assis manqué que je t´aurai bien prodigué moi-même.
Je suis de moins en moins optimiste, mais grâce à ce petit moment j´ai gardé un sourire niais le reste de l´après-midi et je termine la semaine en beauté (tellement !).

On ne se verra pas la semaine prochaine : j´espère que tu passeras un bon séjour à Bruxelles. Et si maintenant tu me faisais un petit signe ?
Si seulement...

Re-belote

Aujourd´hui tu m´as de nouveau souhaité "bon appétit" avec ce petit clin d´œil qui m´a fait fondre lorsque j´ai levé la tête. Et j´ai eu droit à un autre petit clin d´œil lorsque j´ai quitté la table et qu´à mon tour je suis passé devant toi...

Alors merci pour ces petits moments qui me rendent heureux et me font sourire le reste de la journée.
Prochaine étape : te croiser avec mon mug "rainbow flag" bien visible à la main et voir si les petits saluts perdurent. Et bien sûr discuter un peu plus..., j´espère bientôt

Next 🥰

De tous les mecs charmants que je croise, qui me debrayent le cerveau en me faisant faire des films pas possibles, tu es le "number one". Et pourtant ça m'arrive souvent, il n'y a qu'à relire les posts précédents de ce blog...

Mais là, LA !
Si on me demandait de choisir parmi tous, tout de suite, je me dirigerai vers toi sans hésitation.

Et ton petit sourire craquant ce midi à la cantine accompagné de ce petit clin d'oeil en me souhaitant bonjour..., j'ai cru mourir..., wouaaah.

Je ne peux y croire mais aprés tout, je vais rêver encore et toujours, je vais continuer de refreindre mon envie irrépressible de te faire un calin à chaque fois qu'on discute et admirer ton petit cul magnifique dans tes jolis pantalons.
'Soupir' Si je pouvais être ton Jerry ^^.

That’s the end… ou presque ?

J´étais réaliste, juste réaliste. Donc ça ne se fera pas, c´est une première chose.

Ensuite il y a le petit mensonge sur la vidéo YouTube : aucune vue le 14, ni le 15, ni le 16 septembre. Les données analytiques ne mentent pas... elles. Et puis non, ce n´était pas une vidéo "marrante", j´avais sous-entendu ça pour te donner envie de la voir, j´esperais plutôt un petit compliment.

Bref je me suis peut-être trompé, ou bien trop enthousiaste pour mon âge vu le tien, du coup j´ai juste été "trop".
Mais j´ai plus envie de t´en vouloir que de m´excuser, alors on passe à autre chose.

Mais qui sait ? Peut-être à dans 1 an et dans ce cas je creuserai.
Je creuserai, je pardonnerai éventuellement, mais je n´aurai pas oublié...

Trois soirs plus tard…

Je pensais, le soir promis, faire une réponse courte et explicite du style : "Dommage, il ne viendra pas pas" ou au contraire "Génial il arrive la semaine prochaine, à très bientôt pour le récit de nos aventures".

Au lieu de cela, j´ai attendu, j´ai attendu pour ne pas répondre à chaud et exprimer ma colère, d´autant qu´à côté de cela, il m´a fait une excellente impression, mieux je l´ai adoré !

Commençons par cela : mon cher Sam (j´espère que tu me pardonneras cette familiarité), tu as été parfait : ponctuel, élégant, poli, intéressant et intéressé ! J´ai réussi à te faire rougir en te parlant de ton son avec ton frère (désolé ;-)), bref ce premier rendez-vous en demanderait d´autres..., j´en veux d´autres bordel !
Mais bien sûr, j´ai bien peur que l´autre connasse en ait décidé autrement, elle va n´en faire qu´à sa tête et agir comme un sous-chef sans surveillance en ex-URSS dans les années 60...

Alors je reviendrai parler de la suite en fin de semaine prochaine, je vais faire tout ce que je peux pour que tu obtiennes une réponse favorable, mais je marche sur des oeufs... . Ça m´aurait fait un bien fou de partager mon travail avec un artiste comme toi, c´est un peu égoïste de dire ça. Après je pense que j´aurai pu également t´apporter des choses dans la bonne humeur.

Allez, qui sait ? Peut-être suis-je trop fataliste ?

Rendez-vous demain soir…

Demain matin on se rencontre pour la première fois. Je suis tellement persuadé que l´on s´entendra merveilleusement bien, nous ferions du bon boulot..., tu feras du bon boulot.
Mais surtout je suis convaincu que l´on pourrait devenir amis. On a tellement de points communs artistiquement parlant, on pourrait parler des heures, faire un duo peut-être ?
Je rêve de tout ça, du premier regard, d'un sourire gêné certainement. J'ai préparé quelques questions haha...

J'ai écouté ta chanson sur YouTube et Spotify, j'adore ta voix. Je t'ai vu dans le clip de Florent Pagny aux deux endroits (tiens, ça rime ;-)).

Malheureusement je ne serai pas seul et surtout absolument pas décisionnaire. Du coup dans mon post demain soir, ou bien je serai rempli d'espoir, l'espoir d'une chouette rencontre, ou bien je serai déçu, triste d'une occasion ratée, ratée à cause des autres.
Je tenterai de garder le contact quand même, mais pas longtemps, sinon ce serait bizarre.
Pourvu..., bref à demain.

Quiproquo me colle à la peau

Un peu comme le sparadrap qui reste sans cesse sur le capitaine Haddock dans "Vol 714 pour Sydney" je me fais souvent une montagne de pas grand chose, je brode autour. Ça a toujours été le cas, ado déjà..., et ça continue de me coller à la peau, certainement parce que de temps en temps j'ai raison, l'intuition est la bonne.

Mais là je sens le malentendu arriver : il ne l'avait juste pas lu.

(...) "A few minutes later..." Pendant que je rédige ce post, j´ai une notification de twitter : c´était bien ça haha.

Donc pas de problème, il n´a rien contre moi, je vais pouvoir poursuivre cette admiration virtuelle et arrêter de m´inquiéter, abruti que je suis !

Signé : un spectateur parmi les gens ^^

One evening in February (the song)

One evening in February

A big challenge for me.
Thank you Amy for your precious help, David a bit of nostalgia and Bash if one day you discover it I offer it to you with great pleasure.

Absolument secret 🤫

Completely obvious but so impossible...

Pour le coup, ce serait tellement compliqué. Bien sûr il y a cette proposition pour Paris le 24 juin, il y a mon petit cadeau et ton petit bisou de remerciement.
Il y a mon admiration grandissante, cette confiance aussi. Et puis je me sens maladroit et parfois vice-versa.

Mais wouah la vache ! Ce serait la plus compliquée à vivre de toutes mes histoires haha, maintenant...

Heureusement que plus personne ne va sur ce blog, je crois que ce serait le seul post que pourrai supprimer tellement j´ai du mal à l´assumer, tellement j´aurai peur d´être découvert.

Je te remercie de m´entendre et me comprendre si bien, j´aime pas les jours où t´es pas là. Je te trouve de plus en plus sexy :p

I'm obviously crazy!

Et de trois : « Appelle-moi par ton nom »

Ça n´arrête pas en ce moment : les posts sur ce blog et les films ou séries LGBTQ+.

Il va peut-être falloir que je me calme un peu. Et ça concerne aussi les amours adolescentes qui me ravissent et mon anglais approximatif.

Mais là, même si j´ai trouvé le film un peu lent avec une intrigue plutôt calme, la scène à la fin avec le père : waouh c´était magnifique. Il fallait que je l´écrive.

Voilà, c´est tout pour aujourd´hui.

‘Sigh’

I love this guy.

I would like to speak Swedish fluently and English better. I would like to be Timothée Chalamet, fall in love with you and offer you an elephant cub (An Asian elephant because African elephants are more complicated to tame).

And to think that when I saw the first photos on Instagram he didn't attract me. Now it's the opposite, he obsesses me.
But fortunately I will never be a crazy fan, I just like to hear you and look at you (even if I will not be against a small autograph).

Will you tell me the regrets you can't share in public haha?

Watching Young Royals etc.

I will also be able to talk about this other show on Netflix. I will be able to...

I will be able to say that Wilhelm has the same look, black eyes as yours, you who looked at my LinkedIn profile a few minutes after I published the previous post.

But that's not the subject.

Isn't that the subject?

Watching Heartstopper: I miss you David

I would have loved to discover this show with you: Heartstopper.

You would probably have found it a bit too weepy.

It probably would have helped us 23 years ago. It would have helped me, that's for sure!

Come on, no regrets, that's how it is. On the other hand, I would really like us to watch this show together, now, today... or tomorrow. But I dare not.

One evening in february...

I had written it: "...toute une éternité" then "Reste toujours là",
I failed.

We failed?

Comme c'est amusant

Je retrouve ce petit blog à moitié caché, je le retrouve sur le bel écran rétina de mon iPad Air flambant neuf (oui je sais, je crane un peu, sans doute un côté "vieux con qui se la pète" qui doit apparaître lorsque l'on prend de l'âge).Et franchement, j'avais bon goût : ce bleu est magnifique ! Et le contenu : de bien jolies choses ! Beaucoup de bêtises aussi, qu'est-ce que j'ai pu me prendre "le chou" pour rien ! Des belles conneries oui ! Cela devait être mon côté "jeune con" haha...
Bref ne revenons plus sur ce passé, j'y ai assez perdu de temps ! Après ce petit test de l'application Blogger, dont les commentaires plutôt négatifs semblent présager d'un usage limité, je vais tacher de revenir y poster de chouettes photos et quelques avis pris au fil de mes expériences quotidiennes.J'ai envie avant tout de me faire plaisir. Un peu d'autosatisfaction, c'est plutôt bandant. ;)
A bientôt, et je l'espère : pas dans 5 ans cette fois.

J'ai bien raison...

Et dire que j'avais failli l'aimer...

Qu'est-ce que ça fait du bien de ne penser qu'à sa propre petite sale gueule, faire ce que l'on veut du moment que cela nous plait, ne plus parler aux cons (et aux connes) et surtout ne pas les écouter.

Quelle perte de temps ! Et pourtant le temps m'est compté...

Alors j'ai pris conscience de cela. Et pour reprendre une expression qui lui est chère, puisque de toute façon on va tous mourir, gniarf.

Alors je m'achète ce qui me plait, même si ça sert à rien. Je ne vais pas chez les gens que j'aime pas, j'envoie chier ceux qui me soule avec une facilité de plus en plus grande... quel bonheur !

Deviendrai-je vilain à l'instar de ce film pourri que je n'ai pas vu ?

Et si un jour je dois compter d'avantage que les morts lorsque je le serai moi-même, ça me fera une belle jambe (enfin elle risque d'être squelettique avec des lambeaux de chair mouahahah).

Allez, la petite note sympathique de la fin : si un jour, vivant bien sûr, je comptais pour toi, petit nouveau que j'aime de tout mon coeur et que je serre chaque matin dans mes bras, alors par pitié dis le moi, dis moi "je t'aime" en le pensant que je sache un peu ce que ça fait.

Moi je t'aime et je te le dis sur ce pauvre blog qui ne t'est pas consacré et que tu ne liras pas (c'est lâche hein ?).

Mais je ne peux plus dire ça face à un homme qui ne m'aime pas. C'est ainsi...

"Et si tu crois un jour que tu m'aimes

Ne le considère pas comme un problème..."

Michel Berger

L'autre blog

Pour tous les abonnés au flux rss et les autres, ce qui concerne Cristof est désormais ici :

A bientôt..., un jour..., sans doute...

J'ai menti...

..., je poste une semaine plus tard au lieu du jour promis. Je ne sais plus ce qu'est le temps, les minutes, les heures, les jours ou les semaines, les mois et même les années.

Il y a un an j'étais à la Coopérative pour voir Luke et Déportivo en concert. Assis dans le fond, je ne te lâchais pas des yeux, alors que tu t'agitais heureux à un mètre de la scène.

C'était la dernière fois et la prochaine tarde. En demi-teinte une flamme bleue me consume l'épaule gauche mais je résiste.

Je m'étonne de ma capacité à oublier, pardonner, faire abstraction des douleurs vécues pour les trouver insignifiantes. Mais ce sera indispensable, sinon à quoi bon ? Elles resteront malgré tout dans un petit coin, affaiblies mais présentes, telles un vaccin, un rappel afin de ne plus reproduire les mêmes erreurs...

"A bientôt sûrement, mais qui sait ? Pas moi en tout cas, jamais là."

Tellement de frustrations

Voilà si longtemps, si longtemps que je ne vis plus cela. Comment fait-on ? Comment est-on ? Que doit-on dire, écrire ? Comment sourire ?
La chanson de Marc Lavoine "J'ai tout oublié, quand tu m'as oublié..." joue dans ma tête.

Il y a tellement de chemins possibles, d'issues possibles en ce moment, que je suis incapable d'avoir une idée de ma vie à deux dans quelques mois. Je sais où va ma préférence, mais j'ai appris à découvrir que c'était rarement celle qui se concrétisait. Alors on verra bien..., on verra bien mais... mon Dieu que c'est long !

Et puis je me dois de faire un peu redescendre l'image presque malsaine, du post précédent, à force de rester au même endroit.

Demain je posterai de nouveau, peut-être pour parler de cet homonyme gardien de troupeaux qui me donne des palpitations adolescentes, ou peut-être de ceux qui se fichent éperdument de ce que je vis ou pas et pour qui la leur (de vie) restera à jamais LA priorité ? Peut-être serai-je plus futile en parlant de ces petits êtres à carapace qui habitent désormais chez moi ?

On verra, mais c'est sûr cette image terrible redescendra.

Patience

Une envie de choquer, étonner, secouer les esprits, faire passer un message et peut-être aussi me prouver que ma condition n'est vraiment pas si mauvaise..., face à l'horreur d'une telle image.

De retour

La toute première fois que je l'ai croisée, c'était au lycée. Bien sûr j'avais aperçu quelques unes de ses pâles imitations par le passé, pourtant très bien faites et certainement beaucoup plus proches de la norme que l'originale, mais la vraie, l'unique, je l'ai croisée du regard au lycée.

Elle m'a à peine vu, mais déjà j'ai ressenti ces petits picotements dans la poitrine et cette douleur vague et lancinante au niveau du ventre, des entrailles.

Puis je n'ai fait que l'aperçevoir furtivement, pendant des années, à tel point que je finissais par me demander si sa lueur n'était pas le fait d'une simple persistance rétinienne provenant de cette première fois ou je l'avais aperçue sans me déclarer.

Et puis sans prévenir, telle une diablesse sortie de sa boite, elle m'a sautée au cou un soir de février 2000 alors que je ne m'y attendais plus. Sa lumière était violente, elle m'a aveuglé, projetant des gerbes d'étincelles qui m'ont piquées le corps et le cœur y laissant ça et là quelques cicatrices.
Elle a dansé sous mes yeux pendant 2 ans et un peu plus, me faisant signe d'approcher pour mieux se dérober ensuite, mais elle m'a permis d'avancer un peu sur ce chemin sombre.
Elle a disparu ensuite, aussi vite qu'elle était venue.

Quelques mois plus tard, la voilà qui réapparait, plus brillante que jamais, et si j'avais eu l'impression lors de notre précédente rencontre qu'elle ne pourrait jamais être plus grande, plus forte et plus envoutante, je découvre avec stupeur que je m'étais trompé. Elle m'envoute cette fois, m'ensorcelle littéralement, me dessinant un futur doré de ses couleurs chatoyantes et vives. Je dois être abonné aux périodes de 2 ans avec elle, car c'est de nouveau le temps qu'elle m'accorde à me ravir, m'éblouir, mais aussi me consumer et me lacérer le cœur. Hypnotisé, je l'ai suivi, j'ai couru même, tel un toutou baveux derrière un maître strict.
Mais c'était pour mieux me quitter et disparaître sans une caresse, sans un susucre, rien... . Le néant, le noir, le vide et l'intime conviction qu'il s'agissait là de sa dernière visite.

Et voilà t'y pas que depuis quelques jours, elle semble revenir me titiller. Les picotements au cœur qui réapparaissent, le sourire, la chaleur... . Mais je la distingue mal, elle se cache un peu cette fois. Et puis ma troisième rencontre avec elle m'a fait avancer beaucoup plus (et oui puisque j'ai couru), alors je vais la laisser approcher doucement, gardant une distance respectable afin d'éviter qu'elle ne m'abime les yeux.

Je sentirai alors sa chaleur douce et agréable, afin que cette fois notre rencontre dure un peu plus, et surtout fasse plus de bien que de mal. Je pense avoir muri et connaître le secret pour apprivoiser le feu et le conserver. Car celle dont je parle, et qui pourtant paraît bien frêle et inoffensive, c'est la petite flamme...

Mais sinon, tu peux...

Vous vous souvenez du télécran ? Une sorte de petit écran d'environ 25 cm de long sur 15 cm de haut et tout bordé de rouge. De la poudre dorée, mélangée à des billes le remplissait.

Avec 2 boutons blancs qui pouvaient tourner, on faisait se déplacer une pointe (verticalement pour un bouton et horizontalement pour l'autre) à l'intérieur qui en enlevant la poudre dorée de la face interne de l'écran, donnait l'impression d'un trait noir. J'en avais un quand j'étais petit. Parfois je passais de longues minutes a remplir la totalité de l'écran, ce qui faisait apparaître le mécanisme...

Une fois le dessin fait, il suffisait de secouer violemment l'écran pour tout effacer. Tel un vent de sable, une tempête du désert, tout disparaissait et l'écran redevenait vierge, net et immaculé. J'aimerai faire la même chose avec ma tête, mon cerveau, mes yeux...

La hyène des regrets

A crever la gueule ouverte, assoiffé de ton sang

A prier des vierges muettes, des infimes, des puissants

Attendre que tout s'arrête par la mort des amants

A vivre dans mes secrets, isolé de leurs mots

Toucher la hyène des regrets et caresser sa peau

Pour me faire dévorer par la haine de ses crocs

Je suis toujours là

Rien n'a changé je crois

Tu vois

Mais je ne te dirai pas

Que je n'aime que toi...

Je sais pas

Ecris et composé le samedi 15 avril 2006, à partir d'un commentaire anonyme sur le blog. Merci Toinux...

Morceaux choisis

"Juste quelques notes pour t'avertir que je suis là
Oublie que le temps court
Comme tes amours
Suivent mes pas"

"Je surveillerai toujours la flamme
Qui cesse de nous réunir
(...)
Ecoute-moi, tout ceci n'est pas un adieu
Mais juste un peu de poudre aux yeux
Pour te dire que je regrette..., déjà"

"J'ai pas très bien compris pourquoi tu étais parti
J'ai gardé l'eau des fleurs dans le vase de ma vie"

Cristof GeRe (chansons venues et à venir)

Spook à la fenêtre

Un peu comme s'il t'attendait lui aussi... De vieilles chansons, d'Aznavour à Barbara, chantent dans ma tête. Dis ? Quand ? Lalala laaa...

Balayer l'ange de la Bastille

D'un coup d'essuie-glace, il apparaît plus net le petit ange doré perché là-haut. Merci Pierre-Marie pour la capture de cet instant pluvieux et heureux. Reviens vite, tu es ici chez toi...

Quelques heures plus tard, après une soirée théâtre - le "seul en scène" d'Alexandre Pesle - une tempête de neige s'abat sur Paris et sa banlieue. Des flocons comme je n'en ai jamais vu ! Serait-ce le signe d'un heureux présage ?

Il se pourrait bien...

Extra-terrestre ?

Vais-je trouver quelqu'un qui trouve ce petit animal attirant ? C'est un bébé chat nu, un "Sphinx" pour les initiés... C'est vrai que son côté gremlins en rebute plus d'un ! Moi j'adore et c'est une évidence : mon prochain chat sera de ceux-là.

Pour en avoir caressé sachez, mesdames et messieurs les détracteurs, que ces chats sont très doux au touché et que ce sont de vraies bouillottes sur pattes. De plus, les allergiques aux poils pourront enfin venir me voir sans la peur au ventre de se retrouver dans la camionnette du SAMU respirant dans un masque un gaz bronchodilatateur...

Enfin, Mr Spook est quand même toujours là - je l'espère pour longtemps encore - et je ne l'oublie pas.

PS : merci Anne pour cette photo que j'adore !

A moi de jouer ?

Imaginez la scène : vous jouez au cartes par exemple, à la belote ou autres tarots. Depuis quelques parties déjà vous avez un jeu nul ! Des sept et des huit principalement, et surtout aucun atout..., aucun intérêt à élaborer la moindre stratégie.

Alors tout en pensant à autre chose, lorsque votre tour arrive vous posez une carte, presque au hasard en regardant vaguement la couleur demandée (que vous n'avez pas de toute façon). Vous auriez même envie de toutes les poser d'un seul coup ces cartes sans valeur.

Histoire de vous réveiller un peu de temps en temps les autres joueurs vous interpellent : allez, à toi de jouer ! Eux ils s'impatientent, ils ont un bon jeu (celui que vous n'avez pas) et la bave aux lèvres, le sourire narquois, tout excités de remporter la mise et d'étaler aux yeux de tous leur chance presque immorale et leur belles cartes qui brillent, ils vous bousculent !
"Qu'est-ce que tu fous ? T'endors pas !!!"

Comment seraient-ils s'ils avaient votre jeu ?

Cette attitude en devient agaçante. Vous n'aviez pas besoin de ça ! Déjà que vous étiez stressé de l'inintérêt total de la partie, vous avez désormais une folle envie de distribuer des paires de claques...

Parfois la vie ressemble à ça : des cartes sans avenir. Les gens vous trouvent mou et sans entrain, ils vous secouent pour cela. Mais ils n'ont pas vos cartes. Si ils les avaient...