18 avril 2006

La hyène des regrets

A crever la gueule ouverte, assoiffé de ton sang
A prier des vierges muettes, des infimes, des puissants
Attendre que tout s'arrête par la mort des amants

A vivre dans mes secrets, isolé de leurs mots
Toucher la hyène des regrets et caresser sa peau
Pour me faire dévorer par la haine de ses crocs

Je suis toujours là
Rien n'a changé je crois
Tu vois
Mais je ne te dirai pas
Que je n'aime que toi...
Je sais pas

Ecris et composé le samedi 15 avril 2006, à partir d'un commentaire anonyme sur le blog. Merci Toinux...