Erithorus rubecula

Hier un petit passereau, compagnon fidèle des jardiniers, est discrètement venu à moi...

Et là je ne peux m'empêcher d'avoir en tête cette chanson toute en métaphores écrite et composée il y a 4 ans déjà et qui débutait ainsi : "Dans la forêt de mes amours - J'ai aperçu dans une clairière...".

- Une aparté en entraînant une autre, sache David si par le plus grand des hasards tu lis ces phrases, que ton mutisme me pèse, me touche et me peine. Cette chanson était pour toi, je m'interroge... -

Mais revenons à cette journée d'hier où je découvris un commentaire qui me réchauffa par ce froid hivernal. Je ne peux me résoudre à t'écrire tout cela directement, sans doute parce que lâchement, je me dis que je pourrai peut-être me défendre de ne l'avoir jamais écris pour toi dans le cas où tu n'apprécierais guère ce post à cœur ouvert...

Pourquoi avouer de telles choses ? Depuis quelques temps je me surprends à dire et écrire ce que je ne devrai que penser. Que ce passe t'il ?

De toute manière, tu liras certainement tout ceci d'ici peu et même si 99% des autres visiteurs ne comprendront pas grand choses à ces lignes, je me doute fort que toi tu sauras, et mes protestations resteront vaines.

J'ai donc lu, observé, navigué appris à connaître l'oiseau discret et familier et comme cela m'est déjà arrivé par le passé, je suis littéralement tombé amoureux de l'image qu'il représente avec une immense envie de le connaître, de l'approcher d'avantage, de lui parler et de le séduire.

Tu sais désormais ce que je pense. J'espère que tu ne le prendras ni mal, ni bien, mais plutôt telle une information, un condensé de ma franchise exacerbée.

Tout ce que j'ai vu de toi est parfait, carré, beau, pas une seule faute, de belles et longues phrases comme je les aime et que je souhaiterai lire plus souvent sur internet. Une aura artistique qui transpire de partout...

Bravo et mon seul souhait, peut être utopique, est que nous apprenions à nous connaître. J'ai également besoin d'une "greffe de cœur".

A bientôt !