J'ai bien raison...
Et dire que j'avais failli l'aimer...
Qu'est-ce que ça fait du bien de ne penser qu'à sa propre petite sale gueule, faire ce que l'on veut du moment que cela nous plait, ne plus parler aux cons (et aux connes) et surtout ne pas les écouter.
Quelle perte de temps ! Et pourtant le temps m'est compté...
Alors j'ai pris conscience de cela. Et pour reprendre une expression qui lui est chère, puisque de toute façon on va tous mourir, gniarf.
Alors je m'achète ce qui me plait, même si ça sert à rien. Je ne vais pas chez les gens que j'aime pas, j'envoie chier ceux qui me soule avec une facilité de plus en plus grande... quel bonheur !
Deviendrai-je vilain à l'instar de ce film pourri que je n'ai pas vu ?
Et si un jour je dois compter d'avantage que les morts lorsque je le serai moi-même, ça me fera une belle jambe (enfin elle risque d'être squelettique avec des lambeaux de chair mouahahah).
Allez, la petite note sympathique de la fin : si un jour, vivant bien sûr, je comptais pour toi, petit nouveau que j'aime de tout mon coeur et que je serre chaque matin dans mes bras, alors par pitié dis le moi, dis moi "je t'aime" en le pensant que je sache un peu ce que ça fait.
Moi je t'aime et je te le dis sur ce pauvre blog qui ne t'est pas consacré et que tu ne liras pas (c'est lâche hein ?).
Mais je ne peux plus dire ça face à un homme qui ne m'aime pas. C'est ainsi...
"Et si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne le considère pas comme un problème..."
Michel Berger
1 Commentaires :
Ton problème, commun à nous deux d'ailleurs, est qu'on ne saura jamais vieillir.
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