Liberté
De passage au jardin Lecoq à Clermont-Ferrand, ce jeudi 29 décembre 2005 vers 15h ils ont eu peur... . Une envolée vrombrissante et un reflexe : celui de plonger ma main dans mon sac pour y saisir mon appareil photo.
Ce sera plus un "diffuseur d'humeurs", lorsque je suis perdu dans la forêt de mes amours imaginaires…
De passage au jardin Lecoq à Clermont-Ferrand, ce jeudi 29 décembre 2005 vers 15h ils ont eu peur... . Une envolée vrombrissante et un reflexe : celui de plonger ma main dans mon sac pour y saisir mon appareil photo. La terre est bleue comme une orange
Dans son gobelet en plastique transparent, il m'attend ce liquide brûlant, noir et amer. Un halot de buée provoquée par la vapeur s'est délicatement déposé sur la paroi interne, tout en haut. Posé devant l'ordinateur, la souris le guette tout comme le pot à crayons derrière et les nombreuses feuilles de papier éparses.
Le soir du 17 novembre 2005, j'avais bu un sympathique cocktail dans un bar grecque, avec le non moins sympathique Fabien, ex-stagiaire.
Rien à voir avec la fameuse chanson de Cali (quoique...), juste une petite phrase prononcée au téléphone à minuit passé : "il a un pois chiche dans la tête, voilà ! Oublie les gens qui ont des pois chiches à la place du cerveau et lui franchement, c'est le roi du pois chiche ! Il pourrait monter une couscousrie !!!".
Sans doute le plus beau film que j'ai vu cette année. C'est beau, bien filmé, pas de voyeurisme, j'ai pleuré, j'ai souris, je l'ai vécu ce film et je suis un peu mort avec Romain...